Si le père (Trump) fait peur à la terre entière en raison de son irascibilité, sa femme et maintenant sa fille plaisent beaucoup. Elles plaisent, comprenez qu’elles servent de modèles à des femmes pas très heureuses de leurs physiques.
Et donc après Melania, c’est au tour d’Ivanka la fille de susciter des envies de tâter du bistouri. Ivanka Trump aurait un visage si bien fait que beaucoup d’américaines voudraient avoir le même. Ce « like Ivanka » généralisé a de quoi faire sourire.
Mais ne soyons pas condescendants, si chacun d’entre nous a eu envie un jour de faire une intervention de chirurgie esthétique, ne serait-ce qu’une liposuccion (l’horreur des graisses localisées), on pourra faire l’effort de comprendre pourquoi ces femmes rêvent du visage de la fille du président américain.
Et on pourra aussi s’interroger sur cette bizarre association entre l’accent guerrier, plein de testostérone (au service bien sur des firmes d’armes américaines) de Donald Trump et un paradigme de beauté incarné par sa femme et sa fille.
Est-ce un moyen de tempérer l’effet guerrier produit (le jupitérien de Trump) ? Était-ce à l’origine, avant la présidence, un moyen pour Trump d’afficher encore plus sa réussite (le mâle dominant a la plus belle femelle) : cela mérite réflexion et permet de jeter un coup d’œil curieux sur les soubassements du pouvoir.
Cela nous fait également penser qu’aussi loin que l’humain s’invente une culture, son animalité affleure toujours, elle est toujours là.